Vendredi 25 mars 2011 à 14:41

Cloturation du blog


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Mercredi 15 décembre 2010 à 4:39

Rien compris à la vie.
http://fc06.deviantart.net/fs71/f/2010/346/d/6/d6fb5289b88062c5f3e3339e91ee0681-d34py20.jpg Bon on me dira d'ambler : "Mais qui y arrive de toute manière ?"
C'est sur que je pense pas que quelqu'un y arriver mais dans un élan de manque de discernement le plus certain il me prend l'envie d'écrire sur mon incompréhension du monde. C'est pas ce qui manque, mais ça me fait du bien je pense...
J'étais devant la télé, 4h du mat' passé à ressassé sur le fait que, définitivement, j'ai foiré mon premier semestre de Fac. Faut dire que j'ai rien foutu de chez rien foutu, je suis allé en cours pour parler sur MSN et Facebook sur mon ordi portable qui a coûté une fortune à ma famille qui s'est cotisée pour mes 18 ans, bon ceci dit il est rentabilisé donc c'est pas trop grave; en repensant à ce semestre bien foiré, j'en suis revenu à la toujours et même question en ce moment : qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire ... J'arrive pas à me foutre des baffes et me motiver de faire quelque chose dans la vie, et c'est vraiment inquiétant, le pire c'est que je peux m'en prendre qu'à moi-même, j'ai aucun projet, aucune envie, aucune motivation... et pourquoi ?
C'est bien con, mais je réfléchis plus à pourquoi j'en suis là que comment m'en sortir. Alors au moins ce soir j'ai peut-être trouver une explication, je me suis juste mis un rêve dans la tête...
Enfin... un rêve, c'est large comme notion, disons plutôt une vie... J'ai rejeté toute réalité.
J'ai repensé à ma première scientifique, mes parents m'ont toujours dis que j'étais quelqu'un avec des facilités, des opportunité dans la vie, j'y ai cru comme un con, et j'ai laissé faire les choses, on aurait peut-être du me dire que j'étais un crétin, par pur esprit de contradiction j'aurais surement mieux réussis, mais c'est pas ça la question; premier rêve qui part en fumée : "Il y a toujours meilleur que toi", la moralité que je m'en suis fait : "Si je suis pas le meilleur, alors je ne suis rien", ce qui nous envoie sur une terminale littéraire, faut avoué que je m'en suis beaucoup mieux sortit peut-être parcequ'il fallait plus utiliser sa tête que sa calculatrice ou des choses toutes faites qu'on s'évertue à vous rentrer en plein crâne, le fait est que je me suis convaincu que je pourrais être le meilleur en philo, et j'ai réussis. Résultat je me retrouver en Fac de Philo, et là encore un idéal qui tombe : c'est définitivement pas ce que je m'imaginais... foutu rêves, foutu déception.
Si ça s'arrêtait là ... mais tout ce que je tente d'entreprendre : piano, graphisme, même dans un jeu vidéo je ne suis pas foutu d'être suffisamment bon pour me démarquer, trouver une vocation, je ne sais pas ... le genre de déclic qu'on espère avoir toute sa vie pour ne pas finir derrière un bureau, marié, 3 ans, à devoir cotiser pour sa retraite en espérant qu'on en aura encore une avant de mourir... Un sorte de ras-le-bol ? Je sais pas ... je me dis en écrivant et relisant ces quelques lignes que je pourrais bien passer ma vie à écrire, mais je pense pas que qui que ce soit ai réellement envie de lire tout ça, on recherche surtout la nouveauté et à force ça doit vraiment lasser de devoir relire quelqu'un qui semble tourner en rond...
Relationnel ? Pareil ... chaque visage que je rencontre, chaque nouvelle voix, chaque sourire semble être pour moi un acquis, une vérité alors qu'il ne s'agit que de rêves éphémères et réalité trop tristes pour que je sois capable de les acceptées...

Toutes les nuits je m'endors en ressassant les mêmes choses : absolument rien....
J'ai l'impression d'un vie immense, la déception d'une vie tellement banale, normale, plate, longue et ennuyeuse face à un rêve qui prend de plus en plus de place... les nuits s'allongent.... le sommeil prend plus de place, quand je suis éveillé c'est à peine si je pense.
Evidemment c'est cliché de vouloir fuir la réalité et que si je voulais vraiment me démarquer je remettrais un peu les pieds sur Terre... Mais je pourrais tout aussi bien dire que ces personnes ont tort, c'est bien notre façon de voir les choses ici que de s'imaginer que la "vrai" vie est ce qu'il y a de plus saint.
Est-ce que cela vous semble sain de vivre d'une manière qui ne vous enchante pas, dans la difficulté permanente, dans le besoin de satisfaire un désir qui restera toujours, jusqu'à votre mort, sans jamais se rendre ... que ça soit la vie derrière un bureau, le grand amour que l'on recherche, l'amitié la plus pure, le bonheur, tout ça à la fois ...?

Je repense à toutes les personnes que j'ai pu cité, ou même aux quelles j'ai pu penser depuis que j'ai commencé ce blog, toutes celles que j'ai encore en tête aujourd'hui, mes conneries inavouées, mon côté salopard qui au final mérite le pire ... J'ai menti, j'ai triché, j'ai trompé... Sans me donner d'excuse ... peut-être simplement parce que je n'ai jamais eu de chance.... Mais j'ai toujours, au final, donné de moi-même, sacrifié à la toute fin ma personne, pour que, si j'ai été l'auteur de crime absurde, je sois le seul à en souffrir. J'ai menti plus d'une fois pour rendre le sourire, pour redonner aux gens l'envie d'avancer, j'espère que cela à fonctionner, que ces personnes ne l'oublieront pas ...


La question aujourd'hui, c'est comment se faire pardonner, comment enfin être quelqu'un... comment repartir de zéro, quand on a dépassé le point de non-retour ...?
Encore une fois aussi pitoyable que je sois, je demande de l'aide ... je veux vivre ...


j'ai écris cet article en pensant à une gentille demoiselle, désolé pour elle d'ailleurs haha, vu l'article... Miss Juliette P., car j'ai écouté "Emily Jane White" durant toute sa rédaction, c'est avec elle que j'ai partagé pour la première fois l'artiste, et c'est elle qui m'a envoyé la chanson "Been So Long". Petite dédicace alors, qui prend toute sa valeur, car elle ne représente pas si mal que ça l'esprit de l'article, en espérant qu'elle saura lire entre ligne et apprécier la valeur réelle.

Lundi 22 novembre 2010 à 0:56

http://th01.deviantart.net/fs70/PRE/i/2010/015/a/1/Endless_by_GeorgeHarrison.jpg*Il me prends certaines fois l'envie de crier à l'aide... D'une façon franche, claire et précise, ce genre d'appel à l'aide qu'on pourrait retrouver dans un film qui vaudrait enfin le coup d'être regardé avec passion, ou encore une histoire incroyable où il suffirait de se regarder pour se comprendre, où le mots ne seraient présents plus par habitude que par simple nécessité.
Je voudrais bien que ce cri résonne, ne serait-ce qu'une fois, que les choses soient plus simples et qu'il en suffisse pour qu'un écho même lointain me revienne. Mais bon, si c'était aussi simple, personne n'en serait là ... quoique... [...]
Il me vient alors à l'esprit bon nombre de choses : 
Quand je fais "ce que tout le monde fais" pour tenter de m'intégrer tant bien que mal dans une société où j'ai décidément beaucoup de mal à me faire autant d'un sens que dans l'autre (oui ma tête de con, mon caractère de chien et mes manières stupides et inutiles n'ont rien d'attirant... compréhensible), il m'arrive juste de regarder autour de moi, sans même analyser, sans même y réfléchir, mais que simplement et naturellement j'en vienne à me demander comment tout ça a pu en arriver à un point où le monde est tellement faux qu'on se perd entre mensonge et vérité, en espérant qu'il reste encore une vérité.
Quand je suis seul j'en viens aussi à me demander pourquoi les seules personnes qui sont capables de m'écouter, sont aussi capables de voir qu'au final je n'ai rien de bien à mon avantage, et qu'il existe tellement plus de personnes non seulement dignes d'un minimum d'intérêt mais aussi réellement gentilles et de surcroît assez intelligente pour que leur vie soit, du moins, pas trop catastrophique (hey, on a tous notre lot d'emmerdes, surtout ces gens là je suppose[...]), alors que ceux qui en sont incapables sont, quand à eux, comme hypnotiser par une sois-disante gentillesse dont j'en vient parfois à me demander si elle existe, même pour eux.
Quand j'en vient à me décevoir non pas seulement de moi-même ou seulement des autres, ça a même dépassé la déception à vrai dire, quand l'imagination fait un travail trop important et qu'elle en gomme la réalité, que l'esprit se scinde en 2, que le coeur balance sur un rythme qui ne va pas tarder à le condamner, lui ou autre chose [...].

Le rêve, un rêve, une autre réalité, une réalité. Voilà ma carotte au bout du bâton, j'en suis arriver à me convaincre que j'étais passablement un mec bien, mais il faut avouer que j'ai beaucoup de mal à me mentir, enfin la plus part du temps j'y arrive, histoire de ne pas avoir à me tirer une balle dès le lever ou avant d'aller me coucher. Mais c'est prouvé que je suis le roi des abrutis, j'ai tendance à tout foutre en l'air, à ne penser qu'à ma gueule et à être un fin égoïste dans les pires moments qu'il soit (A savoir que l'intelligence de nos jours et en général se résume à savoir être égoïste au bon moment, à nos propre yeux, à ceux des autres et surtout à celui de la société). Et ça, même le  plus grand révolutionnaire, ce n'est pas sans penser à ceux qui essayent de l'être, ne saurait déroger, on est Humain, faut pas exagérer aussi, à toujours vouloir nous casser les couilles, vous y arrivez, mais vous êtes encore plus malheureux parce que maintenant on s'en fout... eh... pas d'bol, vous aussi vous avez vos emmerde.
Revenons au sujet, si si, il y en avait un : moi, ah ben oui, encore de l'égocentrisme mal placé, c'est vraiment le pire moment...

[...]


Une fois que le sujet est établit, savoir lire entre les lignes, parce qu'au final c'est ça, je ne finis jamais ce que j'ai commencé, je l'affirme haut et fort je ne suis pas comme tout le monde, d'un point de vue anatomique si; moral ? certainement; humain ? c'est évident; mais pour tout le reste, allez simplement vous faire foutre, je ne vous comprends pas, et je pense que même si on peut déchiffrer pourquoi j'agis, comment je le fais et quelles seront mes réactions, je doute que qui que ce soit (et surtout moi) arrive à en comprendre l'origine. Alors, laissons le temps faire, voyons ce qu'il advient [...]

Article à finir ... (ce qui n'arrivera pas, mais ça, vous n'en savez rien) [...]

Mardi 21 septembre 2010 à 3:49

http://fc00.deviantart.net/fs51/i/2009/281/0/c/Dreaming_by_jerry8448.jpg





























Il y a des fois ...


Toujours la nuit ... jamais le jour, deux facette d'un visage. Quelque chose contre le quel on ne peut rien.
Cette nuit là, comme beaucoup d'autre, voilà un rêve, une folie, une idée stupide, un sentiment puissant qui nous envahit, entre bonheur et tristesse, mais surtout les dernières seconde d'un bonheur qu'on ne saurait nous voler... quand on se rend compte de la futilité de cette décision, de notre vie, du rêve lui-même.
Dans ces moments, je souhaiterai trouver quelqu'un, qui puisse me regarder, m'écouter, et ressentir, ne serait-ce qu'un instant ce que j'ai bien pu imaginer... le flot tout entier de ces sentiments ... quelque chose d'indescriptible, que même la magie des mots ne saurait reproduire, pas même un dessins, aucun art quelqu'il soit... un mélange de la plus belle musique que vous ayez entendu, de la meilleur réplique du meilleur moment de votre film favoris, sur un fond d'une couleur qui vous transporte comme par magie, le touché même des choses qui vous entoure, la moindre parcelle de votre entourage, la moindre fibre de votre être... Tout cela, vibrer en même temps, à l'union, rien qu'une fois, une fraction de seconde.
Quand un rêve atteint cette perfection telle qu'on la ressent, le temps d'un instant... Je voudrais juste la partager, au moins une fois. Regarder dans les yeux passionnés, et être passionné...
On m'a toujours dit que j'écrivais bien, que c'était élégant, parfois puissant, intéressant, passionnant .... je ne sais pas ... mais je pense courir après un conte de fée, un rêve qui ne se décide jamais de finir, quelque chose de trop grand pour être réel et à la fois surprenant de réalisme.
Je rêve de m'enfuir comme pourrait le faire nimporte qui, mais je suis plus stupide que n'importe qui... j'y crois, je veux y croire, jusqu'à la dernière seconde, ne pas fuir mais simplement partir, ne plus partir mais simplement être, vivre et exister pour quelque chose de vrai...

Je veux croiser ce regard, je voudrais voir la suite, ce que ça peut faire de partager quelque chose, de peut-être trouver la seule fibre de mon existence que j'aurais réussis à extirper d'un néant infini ... et de la partager.
Qui n'en a jamais rêver, de rêver le rêve... et de le donner... Car pour nous, tout a un sens, une cohérence, une beauté ... mais la seule perfection n'existe que dans le partage...

Je voudrais simplement m'envoler, quelque part, et que quelqu'un soit assez fou pour me suivre, jusqu'au bout du monde.
Que les mots ne soient plus rien, qu'un regard en disent plus, qu'une musique résonne...


Mardi 14 septembre 2010 à 22:26

http://the-only-exit.cowblog.fr/images/thegirlonthewallbyfoureyes.jpg



 La vie c'est triste, long et chiant, on est maudit, mais dans le fond on trouve toujours le moyen d'envoyer chier tout ce bordel, de foncer tête baissé dans un mur avec l'idée claire et net de le broyer, et voilà le résultat, y'en a qui s'y sont tués, explosé le crâne jusqu'à oublier qui il était, et les autres ... ceux dont on parle dans les livres, ceux qui les écrivent et qui inspirent la lueur d'espoir qui nous a jadis donné envie nous aussi de tenter notre chance ... rien d'autre qu'une larme dans un océan, aussi futile soit ton existence, elle est bien plus qu'un univers immensément vide

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