Dimanche 6 juin 2010 à 0:33

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 Il est maintenant temps de penser qu'un temps fut autre fois celui du rêve.





Sans jamais s'effondrer, chaque jour passe, lorsque l'on ferme les yeux et que l'on se prend à rêver. C'est alors que lorsque l'un finit, un autre commence.
Je ne suis jamais si sûr d'être celui que je dis être, il arrive parfois que l'on se mente mieux à soit-même qu'aux autres, non pas par peur, mais dans le but de sauver quelque chose qui nous est cher. Si ce n'est notre âme pour ceux qui voudront s'y attacher, ou notre coeur, alors qu'est-ce que ce peut être ?
Je n'en suis pas sur moi-même, mais voilà qu'il m'a pris aujourd'hui, une idée encore plus stupide que d'habitude : regarder un film. En me sachant d'une nature, disons, "on-ne-peut-plus", il pourrait bien s'agir là de la fin de mon esprit écraser par une force bien plus puissante que d'autres appelle le coeur.
Et voilà que cette histoire parle d'un espoir pour tous, pour chacun et que personne ne peut cesser de croire tellement il est vrai. Voilà l'histoire d'un idiot, comme moi, au grand coeur, voudront s'y accorder ceux qui pourrons, et seulement ceux là.


Aucune signification, je pense, ni mauvais mais plutôt bon... Je pense.

Tellement de gens sont venus à ce jour, d'une façon ou d'une autre me dire "Merci"
Merci pour quoi ? Que vaut ce mot, quand on sait que ce sont eux, avant tout qu'ils ont su écouter, et que mes quelques mots, aussi vrais soit-ils, ai pu leur faire ouvrir les yeux ?
Trop de gens aujourd'hui, s'imagine que je suis quelqu'un d'autre. Tellement peut-être que j'en viens à me demander moi-même qui je suis, la version que j'ai cru toujours voir, celle qu'ils ont voulu me montrer, ou celle qu'ils ont voulu m'imposer ?
Douter de la force même de mon coeur reviendrait à remettre en cause toutes mes paroles, et ne pas en douter reviendrait à remettre en cause la parole de tout autre.
Ce sont vos rêves qui font les miens, et les miens qui savent vous les redonner. A la lueur de l'espoir, dans la flamme et l'étincelle qui a su régner dans vos yeux.
Ce monde cruel n'est pas si terrible, seul les faibles sauraient s'y perdre et voilà que j'y suis perdu, depuis toujours. Viendra se perdre avec moi qui voudra, le chemin que je suis s'étend jusqu'à perte de vue et possède bien plus de surprise qu'on ne pourrait l'imagine. Et alors si je suis faible dans ce monde que je me suis créer, c'est que la force est bien ailleurs.



-Conte d'un autre monde, un soir sans étoile.
 


merci à Olli.

Mardi 23 mars 2010 à 23:08

          Brand New Day          



 
Chacune de ces nuits qui semblent finalement pas si longues ... chaque seconde qui s'écoule, on pourrait presque l'imaginer comme une goutte d'eau tombant lentement, irrémédiablement dans un immense océan.




Si chaque fois que l'on s'endort on pensait au lendemain, il ne faudrait même pas imaginer pouvoir s'endormir. C'est bien vrai pourtant, ça ne sert à rien de se projeter, de s'imaginer, de s'inventer des histoires probables ou improbables dans un futur plus ou moins proche. Mais là est toute la question, pourquoi notre coeur nous y force ? Quelque part au fond de nous, même lorsque notre raison tambourine dans notre crâne jusqu'à ce qu'on en devienne sourd, il y a toujours quelque chose que nous empêche de l'écouter... Je crois que c'est juste et simplement bête, mais on a tous peur... Peur que quelque chose change quand on est si bien... Peur du futur, peur de ce qu'on connaît pas, de ce qui pourrait arrivé... Vivre au jour le jour ? Qui le peut, vraiment ? Sans jamais s'imaginer ou croire à un futur probable, laisser son imagination dictée par son coeur que l'on dit fort et pourtant faible face à quelques images ... 
Alors on se bat, toute la journée durant pour s'imaginer à quoi ressemblera celle de demain, plutôt que de vivre l'instant, le présent, la journée qui s'écoule devant nos yeux, on ne peut s'empêcher de tout gâcher sans même se rendre compte que c'est bien là qu'est la stupidité et pas ailleurs... On pourrait se réfugier dans tellement de choses qu'on finit même par s'y perdre, des milliers d'excuses et de plaintes... Mais voilà, on fuit la réalité, on fuit le présent et au final on se fuit nous-même, nos sentiments...
Et c'est à la fin, quand on ne dort pas, de toute ces questions, on vit enfin cette journée qui est déjà presque terminée, on la revoit image par image, on fait des pause sur les moments qui nous redonnent le sourire, on essaye de passer un peu plus rapide ceux qui vous sert le coeur comme un étau, et pourtant on ne peut pas décrocher les yeux de ceux là... et alors, en regardant les étoiles pour peu que le ciel soit dégagé et la fenêtre grande ouverte, laissant entrer un grand froid qui n'est pas sans nous dire "Tu n'es qu'un idiot...", alors là ... après tout ça, on se dit qu'au final, les choses sont ce qu'elles sont, on aurait beau se battre contre, on aurait beau imaginer tout les plans du monde pour survivre à tout ça ... ça nous tombera dessus à un moment où l'autre, et notre capacité à aller de l'avant n'est pas celle de prévoir, ni d'anticiper... mais de simplement bien réagir à ce qui rêve de nous détruire, si nous ne l'avons pas nous-même fait.






Car demain est une nouvelle journée, il faut se lever le sourire aux lèvres, un brin de musique, un levé de soleil et beaucoup de courage.
Car demain est un jour que nous ne pourrons jamais prévoir, alors vivons-le ...
Et si jamais il vous prend, par peur... Sachez que rien ne pourras vous empêcher d'être stupide, c'est simplement que vous savez écouter votre coeur... La raison est si stoïque, si triste et droite que le monde ne saurait y survivre...





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Lundi 22 février 2010 à 5:23

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En instant tout bascule, en instant tout disparaît...

C'est dans ces courts moments qu'on réalise qu'il y a de simples rêves qui se réalisent ...
On a l'impression de se regarder à travers un petit écran, derrière une caméra, dans un film dont on aurait voulu que notre vie soit faite.
On se pose plein de question à cause d'une personne en particulier. On se demande où tout ça peut mener, ce que ça peut signifier, peut-être même avoir un minimum d'importance pour elle ...?

Et alors qu'on s'enfonce dans tout ce genre de connerie sans suite, les minutes passent, les heures s'écoulent inlassablement, comme si tout passait en accéléré, et alors qu'on pensait qu'on ne faisait qu'un rêve de plus dans un vie triste et monotone, c'est un petit mouvement qui vous rappel que chacun de ces instants est plus véritable qu'une simple utopie.

L'inspiration de simples mots qui séparés ne valent rien
Juste un souvenir que j'ai envie de garder à jamais graver dans ma mémoire
Surement un petit rien pour tous, mais beaucoup pour moi

Aujourd'hui c'est en voyant quelqu'un s'endormir que peut-être ma vie bascule. Comment en être autrement quand on ne dort jamais ou presque, tombant de fatigue, immobilisé par ses muscles fatigué... comment en être autrement lorsque l'on voit quelqu'un s'endormir, le sourire aux lèvres...?
C'est quelque chose de léger, de doux et d'incertain, mais je crois qu'aujourd'hui un rêve a éclot en moi... grâce à une idiote =)

Et tout ce que cela m'inspire ce sont des mots, je ne suis pas artiste, de quelque manière que ce soit, je suis plutôt malhabile, alors je pense que je ne saurais vraiment décrire tout ça.

Mais la simplicité et la beauté légère de ce moment à quelque chose de magique...

Promis pas de photo, permet moi au moins alors d'écrire ces mots, pour toi, pour moi, pour tout ceux qui voudront d'un rêve éveillé, d'une nuit sans sommeil ni étoile a permis de rendre le sourire, le temps d'un instant, à un non-superman ^^

Bonne nuit, fait de beaux rêves petit ange.

Dimanche 14 février 2010 à 2:40

Cinq doigts, une main, un crayon et une feuille


http://the-only-exit.cowblog.fr/images/prisonerofmyownbyshimoda7.jpg2h du mat', 14 février, j'ai rouvert les yeux après avoir passer 2h dehors assis dans la neige à regarder un ciel que même la nuit ne saurait dégriser.

Quand minuit à sonner c'est un déclic étrange comme un tic-tac, un simple regard sur la neige...

Je ne rêve que de choses que je n'aurais jamais, je suis loin d'être raisonable, je suis stupide et je me sens seul. Il y a quelqu'un qui me manque irrémédiablement, chaque jour, mais c'est une autre histoire ... plutôt une autre partie de l'histoire.

Les autres partis, je me retrouve seul chez moi, alors que je jette un oeil dehors je peux voir le monde tourner et s'animer sans moi, quelque chose me garde à l'intérieur une peur étrange de ne jamais sortir, pas un manque de courage un manque d'envie.
Je ne sais même plus si je veux être seul ou pas. Je ne sais même plus ce que je veux ... ais-je au moins un jour su ?

Un ami que je porte dans mon coeur m'a un jour parlé d'une théorie comme quoi les gens ne montre que des façades et qu'un jour où l'autre celle-ci tombera ne laissant que la plus pure noirceur de ceux qui se cachait derrière, il l'avait appelé "Masque" ou quelque chose comme ça, qu'y a-t-il d'autre à comprendre ? Est-ce possible d'imaginer que les gens restent à toujours les mêmes, non pas qu'il ne changent jamais, mais qu'ils ne s'éloignent jamais.

Je suis seul, je ne sors plus, du peu que je sortais, tout à disparu. Les seuls liens qui me rappellent encore que ce monde existe en dehors de cette chambre aux murs dont le jaune devient beige et le bleu, gris, reste de simple lettres sans émotions dont on peut douter à chaque mot, à chaque syllabe de la véracité. Manque d'un regard, de la chaleur de quelqu'un qui soit proche. C'est comme si les gens au final ne s'était jamais intéressé à moi ... mais uniquement à ce que je pouvais leur apporter.
Certes des choses sont dites, certes des choses sont censées exister... mais où sont les preuves ? Que peut-on croire lorsque l'on a rien ? Je ne sais plus si je dois haïr ou aimer, j'ai peur encore et toujours, peur de finir seul... encore, de ne plus pouvoir revoir ces sourires qui me manquent... que ces paroles qui m'ont valu tant de remerciement ne restent plus à présent que des poids pesants dans mon coeur, lourds et ancré profondément.

Qui que ce soit j'en ai besoin, quelqu'un avec qui partager ne serait-ce qu'une part de moi-même ... quelqu'un qui veuille me poser les bonnes question sans rien attendre en retour comme j'ai si souvent donner... Je voudrais moi aussi pouvoir décevoir quelqu'un, juste une fois pour avoir quelque chose à me faire pardonner et ne jamais recommencer, car pour l'instant je ne déçois que moi et je suis trop stupide pour apprendre seul...

Si vous avez le temps, mettez moi une corde autour du cou avant que je ne m'échappe...



-La solitude des nombres premiers, Paolo Giordano et Nathalie Bauer-

Lundi 25 janvier 2010 à 23:46

http://the-only-exit.cowblog.fr/images/MachineryoftheStars2byalexiuss.jpg
Une nuit de plus sans dormir, sans vraiment savoir pourquoi, pas de quoi, surtout pas de quoi.
On pourrait se demander pourquoi, mais ce n'est plus vraiment l'envie qui me pousse à faire ça. Biensûr tout va bien ou du moins on en donne l'apparence, question d'habitude, écouter et ne parler que pour donner des apparences ou de l'utile. On se réfugie comme on peut dans les solutions les plus simples, mais là sont les choses, le sommeil ne vient que parce que l'on est extrêmement fatigué, quand le corps ne suit plus la tête déjà surchargée d'on ne sait quoi. Car oui, les choses en sont là, on en oublie pourquoi on ne dort plus, on se contente chaque soir, chaque nuits des mêmes choses, une vague illumination de la pièce à la lueur d'un écran, une musique douce peut-être malvenue, le regard tourné vers le ciel à la recherche d'étoiles que l'on ne connait déjà que trop, même cachée derrière des nuages qui semblent pourtant si bien illustrer la situation, on y devine une occupation qui nous tiendra occuper toute la nuit durant car on pense déjà trop, il ne faudrait pas y rajouter, abrutissons-nous. Ecouter la musique beaucoup trop fort, ça comprime la tête et ça fait du bien, fuir...
"Si tu étais aveugle ou sourd, tu ne serais pas heureux" un de ces autres préceptes qu'on m'apprend depuis que je suis petit, mais au final pourquoi ne pas envier ces "infirmes" qui ne sont pas obliger chaque jour de supporter la parole et les regards malsains des gens, chaque jours nous enfonçant un peu plus dans la normalité... Non il ne faut pas, sourd et l'on perd la magie de la musique, aveugle et l'on perd celle des étoiles, à quoi rime un monde sans étoiles ni musique, rien ne les vaux, même au prix du reste... Ce n'est qu'un rêve tout éveillé, quand on ne dort pas, ce n'est pas un monde à l'intérieur qui se crée mais celui à l'extérieur qui se change, perte de conscience de la réalité, c'est ce qu'on peut vous diagnostiquer... "Folie" c'est le mot simple qu'on peut mettre dessus, quoi de plus vrai, il n'y a de fous pour les fous se croyants censés que les censés eux-mêmes, pourquoi ne pas être fou alors ? Peut m'importe au final ce que je parais je peux m'en contenter, pas de mal que je peux faire en conséquence, arme à double tranchant, dégâts collatéraux, appelez ça comme vous voudrez. Mettez à exécutions vos paroles et je n'aurais rien à craindre, où ne le faite pas si vous avez once de pitié pour ces - non ce - fou(s).
Tout s'y mélange, voilà que les "eux" sont "nous" et les "je" sont "ils", plus de définition, on s'y perd, dans cette masse informe, pas contre la société ou quoi, non, pas de faux-rebelle comme dirait l'autre, juste une perte de la réalité, après tout pas si insensé cette perte de réalité, parce qu'à force, de petit jeu de sous-entendu, de mal entendu à croire que je puisse tout comprendre, comme si j'étais dans votre tête à décrypter chaque mot chaque phrase, en comprendre le sens caché et me tourmenter le soir un peu plus pour me dire simplement que "Dans le fond, je me fais des films"... Mais non, plus rien d'acceptable au final, il y a des limites à tout, je ne dors plus, mon corps s'effondre d'épuisement de nuits trop courtes, hurle à mon esprit en surchauffe de tout arrêter et mon coeur bat, bat, bat de plus en plus fort jusqu'au jour, qui viendra ... où l'un tombera, arrêtant l'autre, stoppant le dernier définitivement...




Récit court et spontané d'un simple esprit en manque de sommeil, atteint de folie, atteint de rien au final que d'un manque d'envie de faire partie de cette "Réalité", à quoi bon rêver si l'on doit se réveiller ? Les rêves sont fait pour être rêvés et jamais réaliser, je rêve de voler, au dessus de la musique, des nuages, des étoiles, de voir le bout du monde... Mais certains rêves prennent fin, pour enfin se réaliser, et c'est là que le monde devient le mien.



(Ne pas s'y méprendre ce texte fut écrit le sourire aux lèvres, merci d'en tenir compte, si cela vous intéresse...)



 
 
 
 
 
 
 

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