Vendredi 26 juin 2009 à 3:28

State of mind.

Un petit rien et le vent change de direction. Un jour heureux l'autre blasé, merde j'arrive même pas à faire sans ça, je ne suis qu' esclave de mes propres sentiments.
Merci de passer sur le classique "amour", fuck pourtant y'a de ça, mais pas beaucoup,
quoique ...
Enfin bref, autant écrire dans ces petits moment où le vent souffle vers quelque chose de meilleur.
Aujourd'hui je rêve de ciel bleu, de nuages bien blancs, de quelque chose que je ne peux pas dire... Je rêve de pas mal de trucs impossible, je rêve même d'écrire sans me demander à chaque fois ce qu'on pourrait penser de ce que j'écris. Tout ça c'est sûrement pour fuir un peu mes révisions de français, tant pis merde, mais bon pour le ciel bleu, 3h15 c'est un peu la dèch, quand au reste...
Dingue, pour une fois on m'a reprocher de pas avoir de limite, et dingue ce qu'on peut faire une fois qu'on les a vraiment franchis, je me dis ça aujourd'hui,
mais j'aimerais que ça continue, après que j'ai dormis, sans avoir réfléchis, sans repenser à tout ce qui pourrait me donner envie de faire le contraire. Continuer à briser les limites, jusqu'à ce que ça soit vraiment trop.

Goûter au vinaigre pour mieux apprécier le goût du miel.

"Avoir des couilles" hein ?! Ca s'apprend, tout s'apprend, je demande que ça...
Je pense à 2 personnes aujourd'hui, ces deux connards me font vivre la pire des vie, mais putain, dingue ce que c'est efficace, je crois que je leur en serait jamais assez remerciant, en sachant que ça risque de continuer, de tout ce qu'ils ont, font et feront pour moi, parfois même sans le savoir. Je suis un vrai con, et ils prennent plaisir à me le rappeler, mais un jour, je vous rendrais la pareille, même si ça doit attendre une vie.

Tout ça pour pas grand chose... juste raconter ma p'tite vie, une fois de plus, parce que je suis égoïste, égocentrique, narcissique, parce que je m'aime et que je sais que ça vous fait chier.


L'homme ne saurait chercher ce qu'il ignore, puisqu'il ignore alors ce qu'il doit chercher, ni ce qu'il sait, puisqu'il ne saurait chercher ce qu'il sait déjà. Dès lors, il faut que, quelque part, nous ayons déjà su ce que nous cherchons ; il ne s'agit plus alors de savoir seulement, mais surtout de se souvenir.

Par Une connaissance... le Jeudi 13 août 2009 à 0:57
Et pourrait-on savoir qui sont ces deux connards ?
 

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