Happi...quoi ?
Et si pour la première fois je me disais que l'on peut être heureux, non pas comme ces formules rébarbatives qui nous assiègent l'esprit et qui visent à nous éloigner de notre but plutôt que de nous en approcher, nous donner sur un plateau doré une odieuse copie éphémère qui ne demande qu'à repartir pour creuser en nous l'abîme triste et vide de notre malheur.
Pas de secret, pas de réalité, pas d'objectivité, rien que ce que cela pourrait m'apporter, je n'ai jamais pensé à vous, ceux qui pourraient me lire, pour être franc je pense pas que je m'y intéresse vraiment, pour la première fois, ce soir, j'écris pour moi, pour me parler, pour noter à jamais dans mon crâne que c'est ce bonheur là que je veux et aucun autre.
On a tué mon art, on a voulu mettre un mot sur ce que mon coeur me hurlait, on me l'enseigne et l'on m'ordonne des règles, je perds mon imagination, je coule, je meurt à petit feu et je suis voué à disparaître, peut-être est-ce mon dernier souffle dans ces lignes que je cède au passé, mais je me battrai jusqu'au bout pour ne jamais oublier celui que j'étais ... !
Je pourrais trouver des raisons pour faire de moi un Homme malheureux, faire de moi quelque chose de pitoyable et de déjà mort, n'être qu'une ombre marchant parmi les ombres sur cette terre qui m'use et me détruit petit à petit.
Peut-être ais-je finalement perdu l'esprit ... peut-être que j'ai trouvé enfin le moyen de faire parler mon coeur, j'en ferais ma vie, j'en ferais ma mort... non je pense que j'ai bel et bien tué mon art... quitte à en mourir, continuons...
Mais voilà que je me réveille, que je vois ces gens, leur mains tendues, leurs sourires et leurs bras tendu, volontairement ou non, par intérêt ou non ils sont là et je ne les oublient pas, ceux que l'on appelle nos amis, ceux sur qui tant on craché leur venin, se réfugiant dans une volonté futile de vivre par eux-même, ceux qui n'ont jamais reconnus leur existence comme improbable si l'on la vie seule...
C'est quand je suis triste, quand je ne comprends plus, que de simples mots m'ont réveillés et ont su me ramener là où j'aurais du toujours être et rester, mais chacun fait des erreurs, moi le premier, et bien vite j'ai compris que j'avais fait le bon choix.
Car ton sourire est surement le plus beau, et d'entre tous celui qui fait de mes mots incohérents un chant doux et mêlé de bonheur.
Car mon bonheur je l'ai trouvé, même si je sais qu'il repartira, je sais aussi qu'il reviendra, et ce qui me rend heureux c'est de savoir que ce bonheur reviendra tant que j'y croirai, que même si je l'oublie on se chargera de me le rappeler et qu'à jamais il m'appartiendra, ne serons que les jours où je saurais me réveiller et les autres ...
Mon bonheur c'est de ne pas être malheureux...
Pas de secret, pas de réalité, pas d'objectivité, rien que ce que cela pourrait m'apporter, je n'ai jamais pensé à vous, ceux qui pourraient me lire, pour être franc je pense pas que je m'y intéresse vraiment, pour la première fois, ce soir, j'écris pour moi, pour me parler, pour noter à jamais dans mon crâne que c'est ce bonheur là que je veux et aucun autre.
On a tué mon art, on a voulu mettre un mot sur ce que mon coeur me hurlait, on me l'enseigne et l'on m'ordonne des règles, je perds mon imagination, je coule, je meurt à petit feu et je suis voué à disparaître, peut-être est-ce mon dernier souffle dans ces lignes que je cède au passé, mais je me battrai jusqu'au bout pour ne jamais oublier celui que j'étais ... !
Je pourrais trouver des raisons pour faire de moi un Homme malheureux, faire de moi quelque chose de pitoyable et de déjà mort, n'être qu'une ombre marchant parmi les ombres sur cette terre qui m'use et me détruit petit à petit.
Peut-être ais-je finalement perdu l'esprit ... peut-être que j'ai trouvé enfin le moyen de faire parler mon coeur, j'en ferais ma vie, j'en ferais ma mort... non je pense que j'ai bel et bien tué mon art... quitte à en mourir, continuons...
Mais voilà que je me réveille, que je vois ces gens, leur mains tendues, leurs sourires et leurs bras tendu, volontairement ou non, par intérêt ou non ils sont là et je ne les oublient pas, ceux que l'on appelle nos amis, ceux sur qui tant on craché leur venin, se réfugiant dans une volonté futile de vivre par eux-même, ceux qui n'ont jamais reconnus leur existence comme improbable si l'on la vie seule...
C'est quand je suis triste, quand je ne comprends plus, que de simples mots m'ont réveillés et ont su me ramener là où j'aurais du toujours être et rester, mais chacun fait des erreurs, moi le premier, et bien vite j'ai compris que j'avais fait le bon choix.
Car ton sourire est surement le plus beau, et d'entre tous celui qui fait de mes mots incohérents un chant doux et mêlé de bonheur.
Car mon bonheur je l'ai trouvé, même si je sais qu'il repartira, je sais aussi qu'il reviendra, et ce qui me rend heureux c'est de savoir que ce bonheur reviendra tant que j'y croirai, que même si je l'oublie on se chargera de me le rappeler et qu'à jamais il m'appartiendra, ne serons que les jours où je saurais me réveiller et les autres ...
Mon bonheur c'est de ne pas être malheureux...