Lundi 23 novembre 2009 à 20:52

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C'est l'histoire d'un voyage... tout ça à cause de toi qui est entrée sans jamais ressortir, tout ça parce que le petit bonhomme n'avait jamais voyagé et que dans sa vie il n'avait pu croire qu'en ce qu'il avait vu. Il n'était pas seul, il était seul. C'est cette histoire qui a commencer il n'y a pas si longtemps et tellement en retard que le petit bonhomme s'y est perdu. Il n'y voulu rien comprendre et partit s'enfuir. Quel chance, ce petit bonhomme n'avait que son imagination, un rêve sans fin, beau mais triste, long et sans espoir, mais un rêve tout de même, il a fuit, couru, de rues en rues dans cette grande ville déserte qu'il s'était imaginer sans jamais penser un jour pouvoir retrouver son chemin, il n'y pensait pas, il ne rêvait que de ça, se perdre une bonne fois pour toute, se cacher là où même lui n'aurait jamais été capable de penser. C'est tellement plus simple quand on sait que le petit bonhomme ne parlais à personne et pourtant parlais beaucoup. Il remplissait les gens de ce qu'il voulait, il leur donnait son sang qu'ils désiraient comme repas. Cette histoire n'a pas de sens, et c'est tant mieux, c'est que le petit bonhomme s'est perdu dans les rues désertes. Mais quel manque de chance, la ville qu'il s'était imaginer n'est rien d'autre qu'une plaine... comment aurait-il pu y construire lui qui ne sait ? Et dans cette plaine, où que l'on se cache, l'herbe est toujours la même, la terre aussi, le décor aussi, simples variations n'existants que dans la hauteurs des collines : parfois hautes, parfois pas. Mais où que l'on se cache, dans cette plaine l'on voit la Lune, qui nous regarde à son tour ... mais qu'y voit donc le petit bonhomme si ce n'est la seule chose qu'il n'a pas imaginer... Triste réalité qui pourtant illumine ses longues nuits, perdu dans sa propre imagination. Il ne vit plus, il n'y jamais vécu, il a cru se réveiller, mais ce n'était que d'un rêve dans un autre. Il n'y a pas de fin, il n'y a pas d'espoir, mais il vit tout en étant mort.





Jamais plus le petit bonhomme n'avait su se tenir face à la Lune, la regarder dans les yeux, ce corps céleste illuminant sa nuit infinie, il ne la regarde plus, il la contemple... pas besoin de dialogue, les yeux parlent et révèlent bien plus du coeur que les mots ne sauraient le faire... Il rêve de la prendre, la capturer, l'emmener au loin, mais ce petit bonhomme sait que ce n'est qu'un rêve ...

C'était l'histoire d'un voyage qui n'a jamais commencé et qui pourtant finit déjà.








Fin ou début d'un conte ... ? Nul ne le sait ...

Début de la fin sans doute.


Un autre voyage attends et celui-ci sera le dernier...
 
 

 
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I found God
On the corner of First and Amistad
Where the west
Was all but won
All alone
Smoking his last cigarette
I said, "Where you been?"
He said, "Ask anything".

Where were you
When everything was falling apart?
All my days
Were spent by the telephone
It never rang
And all I needed was a call
It never came
To the corner of First and Amistad

Lost and insecure
You found me, you found me
Lyin' on the floor
Surrounded, surrounded
Why'd you have to wait?
Where were you? Where were you?
Just a little late
You found me, you found me

http://the-only-exit.cowblog.fr/images/Foundbymotheatn.jpg
In the end
Everyone ends up alone
Losing her
The only one who's ever known
Who I am
Who I'm not, who I wanna be
No way to know
How long she will be next to me

Lost and insecure
You found me, you found me
Lyin' on the floor
Surrounded, surrounded
Why'd you have to wait?
Where were you? Where were you?
Just a little late
You found me, you found me



Early morning
The city breaks
I've been callin'
For years and years and years and years
And you never left me no messages
Ya never send me no letters
You got some kinda nerve
Taking all I want
http://the-only-exit.cowblog.fr/images/CandyRainbynurikokun.jpg

Lost and insecure
You found me, you found me
Lyin' on the floor
Where were you? Where were you?
Lost and insecure
You found me, you found me
Lyin' on the floor
Surrounded, surrounded
Why'd you have to wait?
Where were you? Where were you?
Just a little late
You found me, you found me
Why'd you have to wait?
To find me, to find me
 

Samedi 17 octobre 2009 à 23:31

Define The Undefinable


Vous pensez m'atteindre, vous pensez que vous êtes les victimes ?
Vous vous trompez, vous n'êtes victimes que de vous-même... je ne suis qu'un miroir vous renvoyant l'image la plus horrible et inhumaine de vous, vous n'acceptez pas la vérité, je ne suis ni un phare ni un port, menez seul votre navire dans la tempête qu'est votre vie tourmenté...
Dans cette histoire vous êtes les loups qui dévorez les moutons... à force de vous déguisez en l'un d'entre eux, de mentir aux autres vous vous mentez à vous même.
Vous n'êtes rien pour l'autre et tout pour vous...
Apprenez donc que rien ne vaut la peine, surtout pas vous.

Énervez-vous, ignorez-moi, tentez tout, et quand vous ne saurez plus quoi faire, crevez dans la plus triste fin imaginable ... car la solitude que vous vivrez alors n'est rien en comparaison à la réalité de la noirceur de votre âme ... vous ne détestez que vous, vous vous haïssez dans les plus sombres instant de votre existence.
Vous pensez réellement à la vérité, vous pensez réellement que votre vision est juste, si seulement vous aviez la preuve d'esprit d'avoir l'envie même de savoir ce à quoi ressemble l'ensemble il n'existerai plus en lui même...

Suivez donc bêtes moutons le trajet tout tracé et écrit de votre existence, car si vous ne le faisiez pas, si vous étiez tous au-dessus, quel serait le dessous, quelle ironie se serait de se démarquer par le faite de suivre une banalité alors si exceptionnelle...

Relativité de la vérité... inexistante et pourtant motivation universelle.
Suivez vos instinct, vivez, et crevez sans avoir eu conscience de votre existence, car cela nous permet d'exister...






Je sais que tu as souffert
Mai
s je ne veux pas que tu te caches
C'est froid et sans amour.
Je
ne veux pas te laisser être rejetée

E
n t'apaisant
Je te ferai sentir pure
F
ais moi confiance,
Tu
peux être sure

Je veux reconcilier la violence dans ton coeur
Je v
eux reconnaître que ta beauté n'est pas juste un masque
Je
veux exorciser les démons de ton passé
Je veux satisfaire les désirs inavoués dans ton coeur

Tu p
rétends à tes amants
Que tu es mauvaise et divine
T
u es peut-être une pécheresse
Mais ton innocence est mienne

Pl
ais-moi
Montre-moi comment ça s'est fait
To
urmente-moi
T
u es l'unique

J
e veux reconcilier la violence dans ton coeur
J
e veux reconnaître que ta beauté n'est pas juste un masque
J
e veux exorciser les démons de ton pas
J
e veux satisfaire les désirs inavoués dans ton coeur

Plais-moi
Mon
tre-moi comment ça s'est fait
Fais moi confiance,
T
u es l'unique

J
e veux reconcilier la violence dans ton coeur
J
e veux reconnaître que ta beauté n'est pas juste un masque
J
e veux exorciser les démons de ton pas
J
e veux satisfaire les désirs inavoués dans ton coeur

Jeudi 15 octobre 2009 à 19:20

Merci.

A tout ceux qui m'ont rappelé aujourd'hui qu'on avait toujours intérêt à se souvenir à quel point ceux qui nous entourent n'ont aucune limite quand à leur stupidité.
Merci de m'avoir clairement mis en garde sur le fait de
ne jamais baisser sa garde dans ce monde non pas pourris, mais remplis de vices plus répugnants et suintants d'ignorance aussi efficacement destructeurs qu'inutiles d'un point de vue un minimum réfléchit...
Une corrosion qui use à la longue ... on nous dit de ne pas nous énerver, ignorer et toujours être plus intelligent. Mais je trouve ça aussi intelligent de proclamer haut et fort que je ne suis pas du genre à être la personne qu'on apprécie voir se soumettre à de telles bassesses...
Je me réduirais dans le plus grand plaisir d'un revirement violent et sans égal...

Merci donc à ceux qui m'ont rappelé que ce monde ne demande pas d'être gentil envers tout le monde, c'est bien
une erreur que de croire qu'il reste dans ce monde une once d'espoir quand à être libre de toute action innocente sans avoir à penser aux conséquences...
Voilà donc la leçon d'aujourd'hui... tuer ou être tuer ... sans s'envoler dans les extrêmes idéologiques d'une chasse à l'homme pur et simple, je me rabattrais sur la solution de la haine nette et tranchante envers les êtres potentiellement inutile
et pourtant capable de trop de choses malsaines.






- Article potentiellement inutile dans un but clair et simple de me calmer ... ne rien prendre au sérieux, merci... -

Jeudi 8 octobre 2009 à 19:00

Thunderstorm

J'en viens à me dire qu'avec le temps j'ai été vraiment idiot de croire que je pourrais faire toujours faire mieux ... ou plutôt différent des autres ... car je n'en suis nullement capable, pas plus que les autres eux-même sont capable de transcender leur propre existence. Alors c'est en un jour tel que celui-ci que je me rends compte tout simplement qu'il faut savoir aussi changer... Je ne comprenais pas les gens qui se décidait d'un jour au lendemain à tout refaire, ou même peu, en tout cas changer quelque chose qui fonctionnait bien ... c'est surement car au final c'est quand on est bien qu'on finit par se lasser, et qu'à force, les fossés se creusent, les idées s'enfoncent comme un clou rouillé dans une planche déjà pourrie... Pourquoi prendre sur sois quand on peut rejeter aussi aisément la faute sur les autres, c'est une belle apparence à donner, mais une réalité dure à supporter... je ne saurais pas dire si c'est moi ou les autres qui le font le plus... Mais c'est bien connu, quand on passe une mauvaise journée, on ferait tout pour se calmer les nerfs... Et c'est bien là le lien avec notre affaire : La lassitude est utile pour évacuer un surplus aussi simpliste soit-il qu'une mauvaise journée. Alors voilà où nous en sommes ... ennuyez les gens par une attitude habituelle et non banale, et ils vous le rendent comme un écho de leur ennuie par un déclencheur simple.
Changez donc ! Changez tout, ou changez peu, mais faites le ... stagner n'apporte rien de bon, que ce soit en termes de relation, de vie ou d'idée, triste mais malheureusement vrai, car on préfère toujours se rabattre sur ceux qui pardonne que sur les intransigeant... soyez gentils, et soyez assurer par la même que
vos défauts sauront eux être transcendés, par pas vous, mais par les autres...
Et comme un orage d'été, la tempête passée, le calme revient, laissant le soleil baigner dans une plaine ravagés ... et l'on se détrompe si l'on croit que ce sont les plus violente tempêtes les plus dangereuses, mais surtout celles aux quelles on ne s'attend pas, qu'elle soit courte ou peu violent,
c'est la surprise de ce que vous n'aurez su protéger par prévision qui en sera le plus atteint.

Afin de ne pas tomber dans une paranoïa de tout les instants à guetter stupidement le moment crucial de la rechute, déception et autres destruction morales, mieux vaut
savoir partager ses sentiments et s'offrir plusieurs voies, au cas où le chemin que vous parcouriez habituellement sois encombrer par une sombre tempête qui ne demande qu'à se défouler violemment sur le piéton que vous êtes... Evitez-les, optez pour la simplicité, soyez lâche, car ce sont parfois les lâches qui survivent le mieux.


La tempête elle, ne craint pas l'Homme.









-Pensée tardive d'une journée mauvaise-

Samedi 18 juillet 2009 à 21:53

Aucun sens... de tout ce que je peux faire, penser, voir, être ou croire, je ne me comprends pas moi même...
Il y a juste des jours où je me sens pas à ma place. Et comme dirait l'autre, il y a des jours... tout les jours !
C'est comme si j'avais creuser ma tombe et que j'y avais pris tellement de soin que je rêverais d'y jeter autre chose que moi-même, ne serait-ce que par respect pour cet ½uvre d'art qu'à été ma bêtise.
J'ai rien a raconter, ma vie est banale à souhait, comme celle de n'importe quel pecnot qui pourrait l'étaler par simple ennuie ou par désespoir ...
Somme toute c'est pitoyable. J'ai pas finit d'en chier, j'en suis qu'au début, comme pratiquement tout le monde, et quand la fin arrive on se dit qu'enfaite ... on est toujours au début ... rien n'est acquis tout est a perdre.

Je ne suis qu'un rêveur plonger dans son monde en couleur. Il n'y a que moi, noir et blanc, parmi les ombres des c½urs amères. Je ne rêve que d'une chose, de cette clé, qui me brûle, qui me tue, dans ma main ou tout au fond de ma poche, qui pèse plus lourd que toute cette terre que j'ai sortit, inlassablement pour creuser cette triste tombe. Et dans mon monde en couleur, où le c½ur des gens laisse s'échapper des flots aussi noir que la nuit. Le mien s'est arrêté de battre, je l'ai jeté dans cette tombe, où je ne le rejoindrais jamais.
Ainsi continue de marcher l'abrutit finit, qui vit d'un rêve, errant parmi les arbres, foulant la terre et l'herbe verte, parmi les couleurs et les c½urs qui pleurent.
J'ai oublié de vivre à force de penser, j'en ai perdu toute nature, je cherche encore ce que j'ai laissé derrière moi.

Car on ne connait la véritable valeur des choses qu'une fois qu'on les as perdu.

This is how you remind me ... ^^

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