Aucun sens... de tout ce que je peux faire, penser, voir, être ou croire, je ne me comprends pas moi même...
Il y a juste des jours où je me sens pas à ma place. Et comme dirait l'autre, il y a des jours... tout les jours !
C'est comme si j'avais creuser ma tombe et que j'y avais pris tellement de soin que je rêverais d'y jeter autre chose que moi-même, ne serait-ce que par respect pour cet ½uvre d'art qu'à été ma bêtise.
J'ai rien a raconter, ma vie est banale à souhait, comme celle de n'importe quel pecnot qui pourrait l'étaler par simple ennuie ou par désespoir ...
Somme toute c'est pitoyable. J'ai pas finit d'en chier, j'en suis qu'au début, comme pratiquement tout le monde, et quand la fin arrive on se dit qu'enfaite ... on est toujours au début ... rien n'est acquis tout est a perdre.
Je ne suis qu'un rêveur plonger dans son monde en couleur. Il n'y a que moi, noir et blanc, parmi les ombres des c½urs amères. Je ne rêve que d'une chose, de cette clé, qui me brûle, qui me tue, dans ma main ou tout au fond de ma poche, qui pèse plus lourd que toute cette terre que j'ai sortit, inlassablement pour creuser cette triste tombe. Et dans mon monde en couleur, où le c½ur des gens laisse s'échapper des flots aussi noir que la nuit. Le mien s'est arrêté de battre, je l'ai jeté dans cette tombe, où je ne le rejoindrais jamais.
Ainsi continue de marcher l'abrutit finit, qui vit d'un rêve, errant parmi les arbres, foulant la terre et l'herbe verte, parmi les couleurs et les c½urs qui pleurent.
J'ai oublié de vivre à force de penser, j'en ai perdu toute nature, je cherche encore ce que j'ai laissé derrière moi.
Car on ne connait la véritable valeur des choses qu'une fois qu'on les as perdu.
This is how you remind me ... ^^
Il y a juste des jours où je me sens pas à ma place. Et comme dirait l'autre, il y a des jours... tout les jours !
C'est comme si j'avais creuser ma tombe et que j'y avais pris tellement de soin que je rêverais d'y jeter autre chose que moi-même, ne serait-ce que par respect pour cet ½uvre d'art qu'à été ma bêtise.
J'ai rien a raconter, ma vie est banale à souhait, comme celle de n'importe quel pecnot qui pourrait l'étaler par simple ennuie ou par désespoir ...
Somme toute c'est pitoyable. J'ai pas finit d'en chier, j'en suis qu'au début, comme pratiquement tout le monde, et quand la fin arrive on se dit qu'enfaite ... on est toujours au début ... rien n'est acquis tout est a perdre.
Je ne suis qu'un rêveur plonger dans son monde en couleur. Il n'y a que moi, noir et blanc, parmi les ombres des c½urs amères. Je ne rêve que d'une chose, de cette clé, qui me brûle, qui me tue, dans ma main ou tout au fond de ma poche, qui pèse plus lourd que toute cette terre que j'ai sortit, inlassablement pour creuser cette triste tombe. Et dans mon monde en couleur, où le c½ur des gens laisse s'échapper des flots aussi noir que la nuit. Le mien s'est arrêté de battre, je l'ai jeté dans cette tombe, où je ne le rejoindrais jamais.
Ainsi continue de marcher l'abrutit finit, qui vit d'un rêve, errant parmi les arbres, foulant la terre et l'herbe verte, parmi les couleurs et les c½urs qui pleurent.
J'ai oublié de vivre à force de penser, j'en ai perdu toute nature, je cherche encore ce que j'ai laissé derrière moi.
Car on ne connait la véritable valeur des choses qu'une fois qu'on les as perdu.
This is how you remind me ... ^^