Lundi 25 janvier 2010 à 23:46

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Une nuit de plus sans dormir, sans vraiment savoir pourquoi, pas de quoi, surtout pas de quoi.
On pourrait se demander pourquoi, mais ce n'est plus vraiment l'envie qui me pousse à faire ça. Biensûr tout va bien ou du moins on en donne l'apparence, question d'habitude, écouter et ne parler que pour donner des apparences ou de l'utile. On se réfugie comme on peut dans les solutions les plus simples, mais là sont les choses, le sommeil ne vient que parce que l'on est extrêmement fatigué, quand le corps ne suit plus la tête déjà surchargée d'on ne sait quoi. Car oui, les choses en sont là, on en oublie pourquoi on ne dort plus, on se contente chaque soir, chaque nuits des mêmes choses, une vague illumination de la pièce à la lueur d'un écran, une musique douce peut-être malvenue, le regard tourné vers le ciel à la recherche d'étoiles que l'on ne connait déjà que trop, même cachée derrière des nuages qui semblent pourtant si bien illustrer la situation, on y devine une occupation qui nous tiendra occuper toute la nuit durant car on pense déjà trop, il ne faudrait pas y rajouter, abrutissons-nous. Ecouter la musique beaucoup trop fort, ça comprime la tête et ça fait du bien, fuir...
"Si tu étais aveugle ou sourd, tu ne serais pas heureux" un de ces autres préceptes qu'on m'apprend depuis que je suis petit, mais au final pourquoi ne pas envier ces "infirmes" qui ne sont pas obliger chaque jour de supporter la parole et les regards malsains des gens, chaque jours nous enfonçant un peu plus dans la normalité... Non il ne faut pas, sourd et l'on perd la magie de la musique, aveugle et l'on perd celle des étoiles, à quoi rime un monde sans étoiles ni musique, rien ne les vaux, même au prix du reste... Ce n'est qu'un rêve tout éveillé, quand on ne dort pas, ce n'est pas un monde à l'intérieur qui se crée mais celui à l'extérieur qui se change, perte de conscience de la réalité, c'est ce qu'on peut vous diagnostiquer... "Folie" c'est le mot simple qu'on peut mettre dessus, quoi de plus vrai, il n'y a de fous pour les fous se croyants censés que les censés eux-mêmes, pourquoi ne pas être fou alors ? Peut m'importe au final ce que je parais je peux m'en contenter, pas de mal que je peux faire en conséquence, arme à double tranchant, dégâts collatéraux, appelez ça comme vous voudrez. Mettez à exécutions vos paroles et je n'aurais rien à craindre, où ne le faite pas si vous avez once de pitié pour ces - non ce - fou(s).
Tout s'y mélange, voilà que les "eux" sont "nous" et les "je" sont "ils", plus de définition, on s'y perd, dans cette masse informe, pas contre la société ou quoi, non, pas de faux-rebelle comme dirait l'autre, juste une perte de la réalité, après tout pas si insensé cette perte de réalité, parce qu'à force, de petit jeu de sous-entendu, de mal entendu à croire que je puisse tout comprendre, comme si j'étais dans votre tête à décrypter chaque mot chaque phrase, en comprendre le sens caché et me tourmenter le soir un peu plus pour me dire simplement que "Dans le fond, je me fais des films"... Mais non, plus rien d'acceptable au final, il y a des limites à tout, je ne dors plus, mon corps s'effondre d'épuisement de nuits trop courtes, hurle à mon esprit en surchauffe de tout arrêter et mon coeur bat, bat, bat de plus en plus fort jusqu'au jour, qui viendra ... où l'un tombera, arrêtant l'autre, stoppant le dernier définitivement...




Récit court et spontané d'un simple esprit en manque de sommeil, atteint de folie, atteint de rien au final que d'un manque d'envie de faire partie de cette "Réalité", à quoi bon rêver si l'on doit se réveiller ? Les rêves sont fait pour être rêvés et jamais réaliser, je rêve de voler, au dessus de la musique, des nuages, des étoiles, de voir le bout du monde... Mais certains rêves prennent fin, pour enfin se réaliser, et c'est là que le monde devient le mien.



(Ne pas s'y méprendre ce texte fut écrit le sourire aux lèvres, merci d'en tenir compte, si cela vous intéresse...)



 
 
 
 
 
 
 

Samedi 19 décembre 2009 à 21:30

Mais regardez moi ça ... juste en dessous, quel con à bien pu écrire ça ?
Plus rien a dire, je pense plus à rien, j'écris ce que je ressens encore et toujours...




I'm Living ... !

Vendredi 20 novembre 2009 à 19:42

Happi...quoi ?

 Et si pour la première fois je me disais que l'on peut être heureux, non pas comme ces formules rébarbatives qui nous assiègent l'esprit et qui visent à nous éloigner de notre but plutôt que de nous en approcher, nous donner sur un plateau doré une odieuse copie éphémère qui ne demande qu'à repartir pour creuser en nous l'abîme triste et vide de notre malheur.
Pas de secret, pas de réalité, pas d'objectivité, rien que ce que cela pourrait m'apporter, je n'ai jamais pensé à vous, ceux qui pourraient me lire, pour être franc je pense pas que je m'y intéresse vraiment, pour la première fois, ce soir,
j'écris pour moi, pour me parler, pour noter à jamais dans mon crâne que c'est ce bonheur là que je veux et aucun autre.

On a tué mon art, on a voulu mettre un mot sur ce que mon coeur me hurlait, on me l'enseigne et l'on m'ordonne des règles, je perds mon imagination, je coule, je meurt à petit feu et je suis voué à disparaître, peut-être est-ce mon dernier souffle dans ces lignes que je cède au passé, mais je me battrai jusqu'au bout pour ne jamais oublier celui que j'étais ... !

Je pourrais trouver des raisons pour faire de moi un Homme malheureux, faire de moi quelque chose de pitoyable et de déjà mort, n'être qu'une ombre marchant parmi les ombres sur cette terre qui m'use et me détruit petit à petit.

Peut-être ais-je finalement perdu l'esprit ... peut-être que j'ai trouvé enfin le moyen de faire parler mon coeur, j'en ferais ma vie, j'en ferais ma mort... non je pense que j'ai bel et bien tué mon art... quitte à en mourir, continuons...

Mais voilà que je me réveille, que je vois ces gens, leur mains tendues, leurs sourires et leurs bras tendu, volontairement ou non, par intérêt ou non ils sont là et je ne les oublient pas, ceux que l'on appelle nos amis, ceux sur qui tant on craché leur venin, se réfugiant dans une volonté futile de vivre par eux-même, ceux qui n'ont jamais reconnus leur existence comme improbable si l'on la vie seule...
C'est quand je suis triste, quand je ne comprends plus, que de simples mots m'ont réveillés et ont su me ramener là où j'aurais du toujours être et rester, mais chacun fait des erreurs, moi le premier, et bien vite
j'ai compris que j'avais fait le bon choix.http://the-only-exit.cowblog.fr/images/happinessbymademoiselle23-copie-2.jpg

Car ton sourire est surement le plus beau,  et d'entre tous celui qui fait de mes mots incohérents un chant doux et mêlé de bonheur.





Car mon bonheur je l'ai trouvé, même si je sais qu'il repartira, je sais aussi qu'il reviendra, et ce qui me rend heureux c'est de savoir que ce bonheur reviendra tant que j'y croirai, que même si je l'oublie on se chargera de me le rappeler et qu'à jamais il m'appartiendra, ne serons que les jours où je saurais me réveiller et les autres ...

Mon bonheur c'est de ne pas être malheureux...

Samedi 31 octobre 2009 à 17:14

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Shut up and let me go !

Suivre simplement le rythme d'une musique, un court instant, un éclair, un clin d'oeil, un de ces moments bref on l'a trouver notre petit bouton "Boost !" qui s'était, le temps d'un stupidité, perdu au milieu de toutes ces alarmes rouges et puissantes qui nous aveugle.
Et jamais rien n'a été plus important pour moi que t
out ces instants magiques en sommes, par leur rareté, leur courte durée et leur raison... Le plus souvent musicale, moins souvent grâce à quelqu'un d'autre que moi...
Illusion d'un bonheur qu'on devrait fuir mais qu'on utilise et ré-utilise
jusqu'au dernier souffle de peur de ne jamais en revivre un tel instant...

D'un coup
ne plus s'imposer aucune limite, que même celui qui était là et présent pour tout ceux qui l'entoure chaque jour, qui donne sans recevoir rien en échange, chose qu'il ne devrait d'ailleurs pas faire, ... enfin bref, même celui-ci, ne saurais expliquer pourquoi dans un si bon et intense moment de pur plaisir, rythmé par de la musique Pop entraînant, un brin de folie et beaucoup d'imagination, ce monde tout entier qui l'entour disparait, tourne et retourne tellement et encore qu'il en devient impossible à distinguer, et c'est bien la la preuve d'une inhumanité sans limite que celui qui veut le bonheur des autres trouve dans son propre bonheur le temps d'ignorer tout autre existence...

Alors apprenez donc, prenez le temps, ne vous fiez pas aux illusions, réfléchissez sans jamais tomber dans le piège de la pensée, sachez prendre du recule mais pas marcher à reculons, sachez être simple et non simpliste...
Tout n'est qu'une question d'équilibre, équilibre fragile, dur à trouver, mis à rude épreuve... Mais c'est en ce moment précis, où vous aurez trouver votre équilibre que peut-être l'existence des autres vous apparaitra futile dans le bon sens du terme, car quand on se trouve le mérite que l'on possède alors n'est pas celui des autres, mais bien le notre...

 





Samedi 10 octobre 2009 à 18:12












[... Alors qui croire ?]



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Tellement de choses incomprises
Tellement de non-dits
Chaque battement de coeur est comme une lame chauffée à blanc me déchirant de l'intérieur
Jamais compris, comprendra jamais ... C'est comme ça que ça se passe depuis longtemps.
Car sans tout le monde, je ne suis personne.
Trop rapide, ça passe devant mes yeux, ça défile, complètement flou, je suis un aveugle qui rêve en couleur.
Je donne du sens à ce que je ne devrais pas ... ignore le reste. Paradoxe malsain que je combat à chaque instant, m'enfonçant toujours plus dans ce que je voudrais fuir.
Qui croire, quoi croire ... au final j'en viens à me demander si je crois en tout ou si je crois en rien, les gens sont tellement ... changeant. Comme le temps qui passent, comme les évènements qui marquent petit à petit notre vie. On s'adapte, et on fait de nos expériences passés un mélange qu'on appelle "souvenirs" et qui dicte notre vie ... on ne veux même pas se battre contre ce qu'on est certain d'avoir acquis. On oublie le reste, on oublie ce qu'on veut ... on choisis ce qui va nous contrôler, force de l'instinct contre patience de l'esprit, l'un dicte l'autre qui dresse lui-même l'un.
Alors quoi faire. Rien faire ... avancer tout simplement, suivre notre chemin, qu'il soit déjà tracé ou non, qu'il soit sinueux ou droit.
Ne jamais stagner, ne jamais faire demi-tour et reculer, ne jamais s'arrêter... ne jamais abandonner, car le présent n'est déjà plus et le futur reste à faire.

Vivre tout simplement.

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- suite d'un mauvais roman -

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